La méthode infaillible de l’armée américaine pour s’endormir en 2 minutes

En juin dernier, Epi-phare, une structure réunissant l’Agence du médicament (ANSM) et l’Assurance maladie, publiait un rapport officiel pointant une hausse de 7 % de consommation de somnifères et de tranquillisants en France durant le confinement et juste après sa levée. Désormais, ce sont environ trois quarts des Français qui déclarent souffrir de troubles du sommeil. Ambiance morose, inquiétudes face à l’avenir, peur de la maladie, niveau de vie qui se dégrade, chômage… La liste des soucis qui s’accumulent est loin d’être exhaustive.

Des solutions naturelles existent pour lutter contre les difficultés d’endormissement et mieux dormir.

La méthode

Cette méthode ressemble au body scan, une technique de méditation consistant à se concentrer sur son corps. Son but : relaxer progressivement chaque partie de son corps, du sommet de sa tête à la pointe de ses orteils.

Détendez d’abord votre visage – Commencez par le front, puis les yeux, les joues et la mâchoire, tout en vous concentrant sur votre respiration.

Lâchez vos épaules – Relâchez la tension et gardez les bras le long du corps, y compris les mains et les doigts. Imaginez qu’une sensation de chaleur part de votre tête et descend jusqu’au bout de vos doigts. Occupez-vous d’un bras à la fois et respirez lentement.

Inspirez profondément et détendez votre poitrine – Inspirez et expirez lentement en descendant jusqu’à l’estomac.

Détendez vos jambes – Occupez-vous d’une jambe à la fois et imaginez qu’une sensation de chaleur descend le long de vos cuisses, de vos genoux, de vos jambes et de vos pieds avant d’atteindre vos orteils.

Évacuez le stress – Imaginez-vous dans une des situations suivantes : 1) Vous êtes allongé dans un canoë sur un lac calme avec un ciel bleu au-dessus de vous. 2) Vous êtes allongé dans un hamac en velours noir dans une chambre totalement noire.

Répétez-vous « ne pense pas » pendant 10 secondes.

Après 6 bonnes semaines de pratique, cette technique fonctionnerait chez 96 % des personnes.

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